Histoires vécues et authentifiées -

Publié le par stephan

Peut-être avez-vous déjà entendu parler d'une Dame, tout de blanc vêtue, qui fait de l'auto stop, en plein dénuement et que l'on ne revoit jamais ? Il paraît que les automobilistes qui ne la prennent pas à leur bord, sont victimes d'accidents. Ceux qui ont eu la charité de l'abriter dans leur voiture s'en tirent indemnes sans avoir pu, cependant, contempler son visage qui est caché derrière un grand châle et qu'elle disparaît purement et simplement, comme volatilisée. Voici une des interprétations concernant le mystère de la Dame Blanche. Il s'agit d'une très vieille légende allemande... Dans un château retiré, la fée Mélusine, car c'est bien d'elle dont il s'agit, apparaît lorsqu'elle pressent le décès d'un membre de sa lignée. On la voit alors se promener sur les tours du château en criant ou en sifflant de manière lugubre. Auparavant, citées par Erasme dans son livre « Des Prodiges », des légendes analogues se déroulèrent en Italie et dans d'autres régions d'Allemagne et de Bohême. Ce spectre serait apparu dès les premiers temps de l'histoire dans les nobles familles de Neuhaus et de Rosenberg et il s'y montre encore aujourd'hui paraît-il... La Dame Blanche apparaît lors d'un proche décès mais aussi d'un futur mariage ou de la naissance d'un enfant. Si elle porte des gants noirs, c'est signe de mort. A l'inverse, des gants blancs sont un signe de joie. Elle hante également les domaines de Brunswick, de Brandebourg, de Bade et de Pernstein. Cette drôle de silhouette porte des clefs à sa ceinture et elle s'en sert pour ouvrir les chambres les unes après les autres aussi bien en plein jour qu'au milieu de la nuit. D'un maintien noble, elle se laisse parfois aller à des crises de colère quand on lui tient des discours déplaisants et elle n'hésite pas alors à jeter des pierres à la tête des impertinents. Pourtant, elle a bon coeur et a instauré de repas pour les pauvres dans une salle du château et gare à celui qui ne respecte pas la coutume ! A Parme, en Italie, la Dame Blanche se manifeste aussi à chaque fois que quelqu'un de sa lignée doit décéder c'est ainsi que, comme le raconte Erasme « aux coins de la cheminée, on voyait assise une vieille femme. Une demoiselle de la maison était malade mais contre toute attente, elle guérit et c'est un autre membre de la famille qui mourut subitement ». 



Dame Blanche

A part l'histoire d'Erasme, de nombreuses autres légendes relatives à la Dame Blanche fourmillent en France et dans le monde. Des témoignages sont effectivement troublants comme par exemple à Palavas dans l'Hérault. Ainsi quatre jeunes automobilistes aperçoivent une femme d'une cinquantaine d'années le 20 mai 1981 vers minuit trente. Elle est vêtue de blanc et monte à l'arrière du véhicule direction Montpellier. Très silencieuse, elle s'écrit soudain « Attention au virage ! ». Le conducteur évite de peu l'accident et ses passagères à l'arrière poussent alors un cri : la Dame Blanche a subitement disparu alors que la voiture roule encore et que les portières sont fermées ! La police ne trouvera absolument rien sur les lieux, pourtant les quatre témoignages concordent tout à fait... Toujours en France, à Caen, la Dame Blanche apparaît toujours au même endroit : sur la route de Luc-sur-mer près d'un abribus, à proximité du centre hospitalier. Cette fois, toujours de blanc vêtue, elle semble avoir une trentaine d'années. Des automobilistes qui la prennent en charge ne l'entendent pas dire un mot sauf à l'approche du petit village de Mathieu. Arrivant au village de Luc-sur-Mer, même cri : « Attention au virage ! ». Même cri, même disparition soudaine. Autre fait troublant : en Isère cette fois, à Chapareillan. Ca se passe en 1977, un soir de tempête, durant laquelle un médecin prend en autostop une jeune femme sur la Nationale 90. Silencieuse, elle se contracte fébrilement au Pont-du-Furet, sa frayeur passe et elle demande à descendre pour rejoindre à pied le domicile de ses parents. Le conducteur, galant, lui prête un parapluie et attend quelques instants. Ne la voyant pas revenir avec son parapluie, il va sonner à la porte. Le couple d'une cinquantaine d'années lui explique que malheureusement, leur fille est décédée dans un accident de moto au... Pont-du-Furet. Pourtant, le signalement donné par le conducteur correspond très exactement au portrait de la jeune fille décédée. Une autre Dame Blanche est également vue de temps à autre au château de Trecesson dans l'Ille et Vilaine. Une autre encore hanterait le château de Pouancé en Maine et Loire. La légende veut que ce soit la femme d'un mari jaloux qui l'aurait emmurée ou encore il s'agirait de Marie Delorme qui, par amour pour un chevalier, fit prendre Pouancé par les troupes bretonnes et qui fut emmurée ou pendue. Ailleurs, dans le monde, la Dame Blanche apparaît aux chutes Montmorency à Québec : il s'agirait d'une jeune femme dont le fiancé aurait été tué en 1759. De chagrin, elle aurait enfilé sa robe de mariée et se serait jetée dans les chutes. Enfin, au château de Setin en Allemagne, roderait une Dame Blanche, fantôme de Sidonie von Bork qui fut brûlée pour sorcellerie. Alors bien sûr... On peut parler d'hallucinations ou de canulars, reste que ces apparitions mystérieuses se produisent toujours aux mêmes endroits et que toutes les jeunes filles ou les femmes dont il est fait référence sont toutes décédées de mort violente ou ont été tuées dans des circonstances sordides. Les apparitions, hormis dans l'histoire d'Erasme, se produisent toujours aux alentours de minuit...

Palavas les flots

Le 20 mai 1981, quatre jeunes montpelliérains âgés de 17 à 25 ans vers 0h30, après s'être promené sur les quais de Palavas et avoir bu un coup, aperçoivent sur le bord de la route, une auto-stoppeuse d'une cinquantaine d'années portant un imperméable ainsi qu'un foulard blancs. Ils lui proposent de l'amener jusqu'à Montpellier. Elle ne répond pas mais opine de la tête, monte à l'arrière, et s'assied entre les deux passagères. La voiture repart. La mystérieuse auto-stoppeuse ne dit toujours pas un mot. Un kilomètre après, elle s'exclame "Attention au virage, attention au virage !". Le conducteur, surpris, lève le pied, et passe le virage sans encombre. C'est alors au tour des passagères de crier : le mystérieux personnage a disparu ! La voiture roule toujours à 90 km/h, les portes fermées... D'abord abasourdis, les quatre amis décident d'aller tout raconter à la police. Qui, après avoir cru à une plaisanterie, se rend sur place, sans rien trouver ! Plusieurs convocations plus tard, la police, comme toutes les personnes qui les interrogent, concluent à la sincérité des jeunes : leurs témoignages ne se contredisent jamais, ils ne s'intéressent pas au spiritisme ni à aucun sujet de ce genre... Enfin, ils évitent tant que possible de parler de cette affaire.
 
C.H.U. de Caen (Luc sur Mer)

La "dame blanche" du C.H.U. de Caen (Calvados) apparaît toujours aux abords du même abribus, sur la route de Luc-sur-Mer, juste après le centre hospitalier. Le dernier témoin à l'avoir prise en charge l'a décrite comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'années, sobrement habillée de blanc et prétendant rentrer chez elle, à Luc. Pendant le trajet de 14 km le long de cette route, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est à la traversée du village de Mathieu que la jeune femme se montre fébrile. Puis, à l'entrée de Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrément : "Faites attention, le virage est traître !" Tous les témoins déclarent avoir tenté de la calmer. Là encore, au moment où le chauffeur, après avoir négocié son virage, se tourne vers la passagère, il découvre immanquablement un siège vide. Cette affaire, qui se renouvelle régulièrement selon le même scénario, est localement très connue. Et il se trouve qu'une jeune femme fut, en 1970, victime d'un accident de voiture mortel dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen.
Cet endroit fut plusieurs fois le cadre d’accidents mortels, dont celui d’une jeune femme en 1970.

 
Balleroy

L'auto-stoppeuse fantôme du carrefour de Balleroy (Calvados) apparaît depuis 1960, année où une jeune fille se tua dans une collision à hauteur de ce très dangereux croisement dit "de l'Embranchement", situé à quelques centaines de mètres du village, au milieu de la forêt de Cerisy. Ce jour-là, on la ramenait en voiture du village. Elle habitait un petit hameau niché dans les bois. Sa vie fut coupée nette, au carrefour par un chauffard qui n'avait pas respecté la signalisation. Depuis, on a eu beau refaire plusieurs fois le carrefour, son âme y semble comme chevillée dans un éternel et triste appel au secours. A Balleroy, plusieurs personnes du village l'ont déjà prise en charge. Elle se manifeste toujours par les nuits pluvieuses, à la sortie du village, levant le pouce en direction du carrefour. Elle est immuablement vêtue de blanc et demande à être déposée à un hameau voisin du carrefour, "là où habite sa mère". Elle parait avoir un peu moins de 20 ans. Invariablement, elle montre des signes d'angoisse et de panique évidents pendant la traversée du carrefour. Mais, l'embranchement passé, elle n'est déjà plus dans la voiture. Sa dernière manifestation a été plus spectaculaire encore que les précédentes. Les deux habitants de Balleroy qui l'ont, cette nuit-là, éclairée de leurs phares l'ont vue non plus inactive, debout sur le bas côté, mais debout au beau milieu de la route. Il leur fallut piler net devant ce qui se révéla être encore la même jeune fille, dont la forme s'évanouit dès les portières ouvertes. A force de n'être pas entendue ou comprise, depuis près de 40 ans, cette dame blanche, dont l'appel confus semble venir d'un monde inconnu, paraît devenir plus véhémente qu'auparavant...
 
Chapareillan

A Chapareillan (Isère) sur la N90, apparaît assez souvent une jeune "dame blanche". Ce soir de 1977, par une pluie violente, c'est un médecin grenoblois qui la prit en charge. Taciturne et très peu loquace jusqu'à un passage délicat de la route, dit Pont-au-Furet, la passagère marqua alors une grande frayeur qui s"estompa avec l'éloignement de l'obstacle. Elle se fit déposer un peu plus loin, devant une maison qu'elle dit être celle de ces parents. Comme il pleuvait toujours des cordes, le médecin lui prêta son parapluie et attendit qu'elle le lui ramène. Il suivit la fille des yeux, la vit franchir la porte d'entrée et la referma derrière elle. Une bonne dizaine de minutes passant, le médecin se décida à aller frapper à la porte de la maison, pensant qu'on l'avait oublié. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit, étonnés d'êtres dérangés à une heure si tardive. On imagine aisément la discussion qui s'ensuivit : la jeune fille décrite avait bien habité là, mais il y a des années qu'elle était enterrée ! C'était leur fille unique, morte dans un accident de moto... au Pont-du-Furet.
 
Château-Bernard

Parfois, des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions. Ainsi, une auto-stoppeuse fantôme se montre volontiers, de nuit, à la sortie de Château-Bernard (Isère). Voilà plus de trente ans que cette jeune femme se manifeste ainsi, ayant pour caractéristique constante de disparaître lentement sous la forme d'un léger brouillard, et non en une fraction de secondes, comme les autres. En 1960, elle fut prise en stop et disparut à un point précis de la route, toujours après avoir prévenu le conducteur d'un danger. Ce qui poussa celui-ci à se rendre à la gendarmerie, c'est qu'il avait été un peu entreprenant avec la jeune femme, lui passant une main sur les jambes et, enhardi par l'absence de réaction, sur la poitrine. Il avait alors remarqué que sa passagère dégageait un froid semblable à celui du marbre. Confus, il avait attribué à ses avances la disparition soudaine de la voyageuse et venait demander si on l'avait trouvée sur la chaussée. C'est là un cas unique de contact physique avec l'un de ces êtres fantomatiques, mais dont les atomes et les molécules semblent être aussi bien liés entre eux que ceux d'un vivant.
 
Col du Lautaret

La légende se situe en hiver sur la route du col du Lautaret. L'histoire raconte l'étrange aventure survenue à de nombreuses personnes au coeur de la nuit et de la tourmente : alors qu'elles étaient concentrées sur la conduite de leur véhicule, une incroyable apparition les surprenait au détour d'un virage : une dame vêtue d'une robe et d'un châle dont la blancheur immaculée rappelait celle de la neige, faisait de l'auto-stop appuyée contre une paroi glacée. Troublés et peinés par l'apparent dénuement de cet étrange fantôme, nombreux sont ceux qui lui offraient l'hospitalité dans la réconfortante chaleur de leur voiture. Son visage était entièrement dissimulé par son châle et toutes les tentatives de conversation s'avéraient vaines : le curieux personnage gardait obstinément le silence ... Les automobilistes reprenaient alors leur conduite et la nécessité de se concentrer leur faisait momentanément oublier leur passagère ...
Et le voyage se poursuivait toujours sans dommage. Arrivés à bon port, ils ne pouvaient que constater la disparition de la Dame ...Dans les auberges de la région, on raconte que la Dame Blanche du Lautaret protège les automobilistes qui la prennent à leur bord. Quant à ceux qui l'ignorent, leur voyage se poursuit au péril de leur vie. On raconte aussi que certains ont été internés en asile psychiatrique, à Laragne, pour avoir relaté cette histoire ...

Dame Blanche au Col du Lautaret
 
Tonneville

On ne sait pas exactement quand elle vécu, mais on est à peu près certain qu’elle appartenait à la famille de Percy. Elle vécut dans un manoir en bordure de la route de Cherbourg à Beaumont, dont il ne subsiste aucun vestige intéressant.
La légende raconte qu’elle était intelligente et très belle, mais que son âme était mauvaise et cruelle. Capricieuse lorsqu’elle était petite fille, son désir de domination ne fit qu’augmenter avec l’âge. Dévorant de multiples ouvrages, elle s’initia à la magie et l’astrologie. Ses progrès furent si rapides qu’elle ne tarda pas à être en communication avec les puissances du Malin. Il faut dire que dans le Cotentin, l’influence des invasions Saxonne et Viking contribua à la persistance du paganisme, face aux avancées du monde chrétien. Longtemps, on recourut aux coutumes païennes, aux sorciers et autres devins. Puis la disparition subite des ses deux parents ajouta à son ressentiment. Un jour, une vieille femme s’arrêta près de l’étang situé en contrebas du manoir et la demoiselle de Tonneville l’y précipita dans un accès de fureur. Elle était la terreur de la contrée et il n’y avait pas de malheurs ou de calamités qui survinrent sans qu’on lui attribuât.
Les années passèrent, jusqu’au jour ou un procès l’opposa à des habitants de la commune voisine de Flottemanville, à propos de la possession d’une partie de la lande. On plaida avec acharnement de part et d’autre, mais la demoiselle de Tonneville perdit le procès. Elle prononça alors ces paroles : "Si, après ma mort, j’avais un pied dans le ciel et un autre dans l’enfer et qu’il fallût mettre les deux en enfer pour avoir la lande toute à moi, je n’hésiterais pas !"
Quand elle tomba malade, le curé de Tonneville vint pour la préparer à la mort. Elle lui dit qu’elle était toute préparée, et n’avait pas besoin de lui. Le curé l’exhorta à se rétracter de ce qu’elle avait dit, mais elle renouvela son désir d’appartenir à Satan pour hanter la lande qu’elle revendiquait. Finalement elle mourut dans l’impénitence. Le jour de l’enterrement, il fut impossible de sortir le cercueil de la propriété. Une force mystérieuse le retenait. On résolut alors de creuser sa tombe à l’endroit ou il se trouvait. On pensait en avoir terminé avec cet être maléfique, mais on se trompait.
Depuis ce jour, on la rencontre la nuit tombée, sur les landes de Tonneville et Flottemanville, ou bien près de l’étang de son ancien manoir. Toujours vêtue de blanc, elle s’exhorte à égarer le voyageur. A pied ou à cheval, il est pris d’une sorte de vertige, il perd le sentiment de l’orientation, il ne reconnaît plus le sentier, il crois revenir sur ses pas, change de direction et se perd tout à fait. Puis sans avoir compris, il se retrouve au milieu de l’étang. Alors, il entend la demoiselle de Tonneville ricaner du succès de sa ruse.


Quelquefois, elle se manifeste sous la forme d’un cheval blanc, et marche à coté d’un piéton, comme pour l’inciter à monter sur son dos. Malheur à celui qui se mettrait en selle pour accélérer son voyage, le cheval partirai aussitôt à travers les chemins creux, les fondrières et les ronces. Puis l’animal disparaît subitement sous le voyageur, laissant l’infortuné au beau milieu de l’étang...
Aujourd’hui, on n’entend plus guère parler des Milloraines, à tel point que l’on attribue ces apparitions aux superstitions et autres peurs ancestrales. Pourtant, en 1949, au cours de travaux dans l’ancienne enceinte du manoir, on mit à jour un cercueil recouvert d’une plaque de plomb, contenant des ossements humains. Qui autre que la demoiselle de Tonneville pouvait reposer ici, à l’endroit précis où, selon la légende, aurait été enterrée sa dépouille ?...
Phénomène plus récent, des auto-stoppeuses vêtues de blanc hantent le bord de nos routes. On en dénombrerait près de trois cent cas en France. Le scénario est identique : elles se manifestent au bord d’une route, toujours au même endroit, demandant à être prise en charge pour se rendre à quelques kilomètres de là. En un lieu bien précis du trajet, elles disparaissent subitement, souvent après avoir mis en garde le conducteur : c’est là qu’elles ont trouvé la mort quelques années auparavant, dans un accident de la circulation.

Dame Blanche
 
Lessay

En réalité, la région de Lessay ne compte pas moins de deux dames blanches. La lande de Lessay, située de part et d’autre de la route de Coutances, a toujours eu la réputation d’abriter des apparitions. La première, autrefois victime d’un assassinat, se manifeste dans la lande depuis des siècles par les nuits de pleine lune.
La seconde, plus récente, est très connue par les habitants du Centre-Manche. Elle fait de fréquentes apparitions au bord de la route de Coutances, à la sortie du Village de Le Bingard, faisant du stop pour rejoindre Lessay. Prise en charge, elle disparaît toujours à l’entrée du chef-lieu de canton, à hauteur du cimetière, là où elle repose : il s’agirait d’une adolescente de Lessay, Gabrielle R., tuée en 1970 dans un accident sur cette même route de Coutances.

Dame Blanche - Bingard - Lessay - Coutance
 
Montpinchon

Près du cimetière de Montpinchon, une dame blanche ferait une apparition chaque 14 du mois. D’ailleurs, dans les années 80, des centaines de spectateurs se déplaçaient pour assister au spectacle. Des milliers de curieux auraient aperçu cette forme évasive déambuler dans la campagne près de la rivière la Soule. Les gendarmes, médusés par un tel déplacement de foule, n’ont jamais pu prouver de supercherie.
 
Le Canet

C'était au mois de juillet , un vendredi , mais je ne me souvient plus de l'année exacte 1985 86 ou 87. J'étais sorti avec un copain boire un verre sur la côte, à Canet en Roussillon exactement comme on le faisait souvent en semaine , mes parents étaient parti en vacance et j'étais resté car je bossé tout l'été ( pour info on a bu un jus d'orange et rien de plus nous n'étions pas fumeur non plus).Vers 1h00 du matin on décide de rentrer car je travaillais le lendemain .Tout vas pour le mieux du monde ,on discutait, et c'était moi qui conduisais. Et c'est la que tout a commencé. Sur le bas coté de la route je suis attiré par une lueur ,et je vois une dame habillée d'une grande robe blanche style chemise de nuit ,cheveux longs,dont la lumière provenait de l'intérieur de son corps ,assise sur une balançoire accroché a un arbre,de la main gauche elle tenait la corde a sa gauche tandis que la droite était tendu vers ma direction. Petite précision la balançoire était immobile .Inutile de vous dire que j'ai été pris de panique et je ne sais pour quelle raison je n'arrivais plus a respirer et je me suis mis a accélérer .Mon copain regardant dans ma direction affolé n'as rien pu voir. Il voulait absolument que l'on y retourne mais pour moi c'était hors de question. C'était beaucoup trop différent de ce que l'on a l'habitude de voir au quotidien. La seule chose qu'il a pu faire c'est de me donner des gouttes d'un calment pour que je puisse rentrer chez moi .Je n'ai pratiquement pas fermer l'oeil de la nuit,disons qu'après c'est psychologique,le moindre bruit est largement amplifié par mon cerveau et en plus j'étais tout seul a la maison.
Je raconte rarement cette histoire , trop peur d'etre pris pour un fou ,mais je sais moi que cela était bien réel.
 
Zillisheim
 
Cela s est passé vers l 'age de 17 ans, nous étions 4 copains en scooter et nous dirigions au lycée épiscopal de Zillisheim ( Haut-Rhin ). C était un soir d' été, je ne me rappel plus de l heure mais il n y avait aucun mauvais temps et encore moins de raison d y avoir du brouillard. Quand au loin nous avons aperçu du brouillard se former et une lumière blanche apparaître au loin. Nous nous sommes arrêtés car cela était d une étrangeté que nous ne pouvions plus continuer à rouler. Cette lumière se fit de plus en plus importante et nous avons pu distinguer au loin, une femme au milieu de ce brouillard. Plus la lumière fut importante, plus l' on pouvait distinguer cette femme, la lumière formait son corps et l on distinguait une longue robe blanche, elle était tout en lumière. Nous distinguions ses bras, son visage mais pas ses pieds, elle reposait à quelques centimètres du sol et de ce fait nous étions complètement incertain de notre vision. Elle nous regardait et nous n étions attirés plus que par elle, son visage était difficile a percevoir car nous étions tout de même assez loin. Je ne pourrai préciser la durée de cette apparition car toute forme de temps avait disparut. Cela nous calmait à un point que nous étions tous ébahi. La lumière et donc cette femme disparu sans que nous nous en rendions vraiment compte. Cela s 'est fait naturellement ainsi que la disparition du brouillard.
Quand nous avons rallumé nos moteurs et sommes aller au niveau de notre apparition, il n' y avait aucun signe, rien du tout, pas une trace. Depuis ce temps, cette femme est dans mon esprit et jamais je ne l oublie.
Dans ma vingtième année, je me suis mis a faire des séances de kinesioliogie, avec quelqu’un qui était vraiment évolué d un point de vue spiritualité. En discutant avec mon amie il s'est avéré que cette femme était bien une apparition, une sainte qui était la pour nous protéger d' un accident. Me demandant si une statue d' une religieuse était devant le collège épiscopal, j y suis retourne quelques années après. Effectivement une statue de sainte était devant le collège, j ai tout de suite reconnu la femme que nous avons tous vu. N arrivant pas a lire son nom, je suis aller voir le prêtre du collège pour savoir qui était cette femme. Il s'est avère que c'était la vierge Marie.
Depuis cette apparition, je vois la vie tout a fait autrement et me suis ouvert sur la voie spirituelle.
 
Portugal

Il y a des milliers de témoignages à travers le monde des dames blanches. Apparemment, cette vidéo ne serait pas un fake... Ca se déroule au Portugal, et la dame blanche apparaît à 4m15 de la vidéo. Vous remarquerez que sa voix change au moment ou elle hurle, ainsi que l'apparition de marques sur son visage. On pourrait se dire que si c'était une actrice qui interprète la dame blanche, elle ne regarderait pas la camera, hors c'est le cas à plusieurs reprises. Donc première vidéo d'une dame blanche? Possible!


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