Puerto rico, une île sous haute surveillance

Publié le par stephan

Ce petit pays est le théatre de si fréquents événements inhabituels qu'on y a instauré une journée nationale ovni"






Introduction:


Dans cet article nous allons tenter de vous décrire la situation spectaculaire que vivent au niveau ufologique les habitants de l’île de Puerto Rico, territoire hispanique des Etats-Unis. Cette île de 959 km carrés, avec ses îlots attenants, située à l’est de la République Dominicaine, entre la mer Caraïbe et l’Océan Atlantique (18,15 N, 66,30 W), connaît des événements sans pareil dans le monde au niveau des observations d’ovnis. Cette situation étant à peu de chose près complètement méconnue en France, nous avons souhaité prendre des contacts sur place auprès de groupes d’ufologues qui sont au coeur de la tourmente depuis maintenant plusieurs années. Avec le temps, la confiance s’est instaurée, et ces chercheurs courageux, ces enquêteurs de terrain sont peu à peu devenus nos amis. Beaucoup de spécialistes penchent pour l’existence de vastes bases aliens sous-marines et souterraines dans et autour de Puerto Rico. Vous allez à présent découvrir l’ampleur du phénomène et entrer progressivement dans cette zone de turbulence ufologique unique au monde. Vous verrez que le nombre d’incidents observés par la police, les officiels et l’armée apporte une crédibilité énorme à cette thèse de la présence alien sur l’île.

Comme nous le verrons lors de la lecture de cet article, il se déroule sur Puerto Rico une quantité impressionnante d’incidents étranges : des atterrissages d’ovnis observés sur les terrains de la Navy ; des révélations extraordinaires faites par le personnel de Sécurité de la Navy, affirmant sans sourciller, la présence d’ovnis et d’aliens sur l’île de Vieques ; une éventuelle activité en commun, peut-être, selon les Portoricains, un programme secret de contacts de militaires et d’aliens ; des combats parfois observés entre des jets américains survolant l’île et des ovnis ; des zones terrestres aux changements électromagnétiques plus que curieux. Pour vous parler de tout cela, et parce que pour nous, le sérieux des sources compte plus que tout, nous avons choisi de citer la plupart du temps le journaliste et ufologue mondialement connu : Jorge Martin, de Puerto Rico, lequel nous a aimablement autorisé à nous référer à son remarquable et courageux travail. Il est très important pour le lecteur de langue française de se rendre compte de la situation que vit au jour le jour ce petit état car elle est très symptomatique d’une accélération généralisée
d’étranges phénomènes et de leur importance.

 

Vous verrez, cela ne laisse pas indifférent…un public averti en vaut deux, n’est-il pas vrai ? Sachez que le sensationnalisme n’est pas notre motivation, au contraire. Seule la quête de vérité nous intéresse. À ce propos, nous avons déjà eu à maintes reprises l’occasion de refuser des documents classifiés extraordinaires, qui nous étaient présentés par d’étranges intermédiaires, comme des preuves ; nous avons refusé aussi de nombreux témoignages à faire se dresser les cheveux sur la tête, simplement par un souci d’exigence et d’honnêteté vis à vis de nos lecteurs. Une petite enquête, voire même quelques coups de téléphone permettent en général de mettre en lumière la fragilité des témoignages, et de réduire à néant l’authenticité ou du moins l’importance de certains documents que nous avons pu recevoir… Il nous arrive cependant de faire des erreurs, et d’étaler même notre ignorance, nos faiblesses, et notre incompétence dans certaines affaires, mais nous essayons en tout cas de résister toujours aux sirènes du “merveilleux à tous les étages” afin de ne pas sombrer dans le “n’importe quoi” qui nous attend à chaque virage et nous tend la main avec son sourire séduisant et son cortège de vérités déguisées.


Nous avons affiché la même réserve avec ces dossiers de Puerto Rico, mais nous vous les présentons aujourd’hui car ils offrent une garantie d’authenticité et un taux de crédibilité inégalable. Il est d’ailleurs parfaitement scandaleux que nos médias ne relaient pas une situation qui perdure depuis longtemps, s’aggravant exponentiellement depuis cinq ans environ. Que ferions-nous si tout cela se passait chez nous ? Et comme me le faisait remarquer un ami : que ferons-nous le jour où peut-être cela se passera chez nous ?


Récits et histoire ufologique de l'île


Un rapport scientifique

Le Dr Mark Carlotto a rendu public récemment un rapport scientifique sur les nombreuses anomalies apparaissant sur les vidéos des missions de la navette spatiale STS-48 et STS-8O. (Voir dans www.newfrontiersinscience.com et cliquer dans “Anomalous Phenomena in space shuttle nmission STS-80 video”). Ce qui attire notre attention dans ce rapport c’est que le Dr Carlotto nous parle d’une anomalie (dénommée F-1), consistant en un large objet lumineux, dont l’origine viendrait selon lui, d’une zone à l’est de Puerto Rico, en mer, localisée à un point précis, au sud de l’île de Vieques. L’objet d’une taille conséquente, filmé par la navette, serait sorti de la mer à cet endroit puis serait monté dans l’atmosphère et aux parages de la navette aurait viré sur la gauche pour disparaître.

 
Or il se trouve que de très nombreuses observations d’ovnis ont été faites dans la région. De nombreux témoignages enregistrés depuis plus de cinq ans et rapportés par la Police d’Etat de Puerto Rico, ainsi que par la Police municipale de Vieques, le personnel de la Navy et des employés et officiels du gouvernement municipal, viendraient justement entre autres de cet endroit. Ce rapport scientifique du Dr Mark Carlotto confirme donc depuis une observation de l’espace ce qu’ont vu des centaines de témoins depuis plusieurs années. À savoir de gros objets lumineux sortant et entrant dans les eaux de Puerto Rico, toujours dans les mêmes zones. Mais un autre événement de taille allait mettre le feu aux poudres dans l’île…

 

L’Ordre Spécial Secret du Président Clinton

Tout d’abord, pour bien comprendre la situation de la région de Puerto Rico, quelques informations s’imposent pour le lecteur de langue française : l’île de Vieques (Lat 18,13°N, Long 65,40°W, 34 Km de long sur 5 Km de large, habitants : 10.000) est depuis 62 ans coupée en trois zones : deux zones sont inaccessibles aux habitants. La partie Est, qui sert de zone de tirs, bombardements expérimentaux et essais de nouvelles armes pour la Marine de Guerre des USA, et la zone Ouest, qui sert de zone militaire réservée avec installations radars. Seule la partie médiane est habitée et tous les week-ends de nombreux Portoricains y viennent pour profiter des belles plages et des beaux paysages. Depuis plusieurs années, comme vous pouvez vous l’imaginer, un mouvement pacifique civil important s’est créé pour demander l’arrêt des tirs dangereux pour la santé des habitants et la restitution des terres de l’île à ces derniers pour un usage civil plus concordant avec la joliesse d’une petite île très touristique des Caraïbes. Il existe aussi un mouvement pro-indépendantiste qui se greffe aisément là-dessus (Vieques fut annexée en 1854 à Puerto Rico).

Or le 4 mai 2000 pendant une importante manifestation totalement pacifique, protestant contre la prolifération de pollutions et de maladies graves suite aux tirs en cours sur l’île, à la surprise générale (cela ne s’était jamais produit) plusieurs civils furent arrêtés. Peu de temps après, un embargo fut réalisé par les bateaux des garde-côtes US de Vieques tout autour de l’île, bloquant ainsi les pêcheurs, les empêchant totalement de sortir en mer pour gagner leur subsistance. Tout cela mit en émoi la population mise sous une pression insupportable. C’est alors que pendant une émission radio à Puerto Rico (“Crossfire”, “Feux croisés”) un analyste : Carlos Gallà osa demander sur quels ordres les garde-côtes US avaient agi, car normalement ce n’est pas à eux de prendre une telle initiative, celle de bloquer toute une population sur son île.

La tension était telle que l’on apprit rapidement pendant l’émission que les garde-côtes avaient agi sous un ordre classifié du Président Clinton lui-même déclarant la zone de Vieques, territoire américain, je vous le rappelle, une : “…zone de rébellion.” Les analystes rétorquèrent que cela n’avait aucun sens. Il s’agissait d’une manifestation parfaitement civile et pacifique laquelle se déroulait dans le plus grand calme. (Il y en avait déjà eu bien d’autres auparavant). Poussés dans leurs retranchements et sous la pression du public, on apprit alors que ce fameux ordre secret du Président Clinton avait été publié sous les dispositions du US National Security Act et disait que la situation en cours à Vieques : “…affectait dangereusement les relations des Etats-Unis avec une autre nation, une puissance étrangère et que c’était très dangereux pour les intérêts de sécurité nationale des Etats-Unis.” Oui, vous avez bien lu !…

L’analyste demanda immédiatement de quelle nation il s’agissait, car une telle justification pour un tel ordre n’avait aucun sens ! Sans le savoir, il avait posé le doigt sur un point très sensible, un point aux implications majeures... La vérité c’est qu’aucune des nations participant aux exercices militaires avec l’US Navy sur et autour de Vieques ne représentent un danger pour les Etats-Unis. Alors ? Quelle est donc cette mystérieuse “puissance étrangère”?! Pour les journalistes et analystes Portoricains, cette mystérieuse puissance étrangère pourrait bien être une référence à une civilisation alien vivant en partie, selon beaucoup de témoignages, dans des zones souterraines à “El Yunque”, dans la région Est de Puerto Rico et sous la mer autour de Vieques et aussi au large des côtes Ouest de Puerto Rico. Nous vous en reparlerons en détails dans de prochains articles. Voici en attendant quelques exemples en faveur de cette thèse :

Il s’agit des témoignages du Directeur de la Police Municipale de Vieques, l’officier Wilfredo Feliciano. La première de ses observations eut lieu pendant l’été 1997 autour de 21 h. Le Directeur roulait sur la route 997 qui va d’Esperanza au secteur d’Isabel II. Quand il arriva à l’intersection de Marta’s Alley, il perçut une intense lumière jaune suspendue sans mouvement dans le ciel. Intrigué, il gara sa voiture sur le côté gauche de la chaussée pour mieux observer cette lumière parfaitement inhabituelle. Il déclara : “- C’était vraiment un très gros triangle, complètement nimbé d’une lumière jaune très brillante. Il était à peu près à 500 pieds au dessus du terrain de Camp Garcia (terrain militaire). Pour l’altitude je me basais sur l’observation d’arbres voisins. Ce qui m’intrigua le plus c’est que cet objet était comme suspendu juste au dessus d’une piste d’atterrissage de la US Navy qui y fait décoller et atterrir beaucoup d’avions…et que cet objet était un Ovni. Or il n’y avait pas d’exercices militaires à ce moment là, aussi que faisait cet objet, ce triangle de lumière au dessus de la piste ? Pensant que j’étais en train d’observer quelque chose que je n’étais pas censé voir, j’ai quitté l’endroit rapidement. Mais j’ai réalisé depuis lors que quelque chose d’étrange se passait sur les terrains contrôlés par la Navy.”



“Quelques jours plus tard, ma femme m’a dit avoir vu exactement le même type d’objet suspendu exactement au dessus du même endroit à Camp Garcia. Le week-end suivant en allant chez sa mère nous avons vu un autre de ces triangles. À ce moment là nos fils étaient avec nous dans la voiture et ils l’ont vu aussi.” L’officier et sa famille ont observé l’objet à une distance de 2 miles et même à cette distance ils ont décrit un objet de très grande dimension. Wilfredo Feliciano a confié à l’équipe de J. Martin qu’une partie de ses fonctions à la police municipale était de patrouiller à l’Ouest de Vieques qui est sous contrôle de la Marine US. Il a eu souvent l’occasion d’observer des ovnis extrêmement brillants émergeant de la mer dans le secteur de Puntas Arenas et volant à très grande vitesse dans le ciel nocturne. Ces objets viraient souvent dans le ciel avec de brusques angles à 90°. Il fut témoin de cela à de nombreuses reprises et c’était toujours entre 21h et 23h et parfois vers 2h et 3h du matin. Les ovnis surgissaient de la mer, à un point juste au milieu entre Punta Arenas et la station navale Roosvelt Roads à Ceiba.

 

De grandes soucoupes absorbent à leur bord de l’eau de mer

Le témoin Carlos Zenon est un pêcheur de Vieques impliqué dans le mouvement pacifique civil contre les bases militaires et leurs polygones de tirs sur l’île. Aussi bien lui que ses deux fils ont subi des périodes d’incarcération dans les prisons fédérales US à Puerto Rico pour leur engagement à cette cause. Ce témoin est connu pour son sérieux et franc-parler par toute la communauté de l’île. Voici les propos qu’il a tenus aux enquêteurs de J. Martin : “Ces événements ne sont pas nouveaux à Vieques. Une fois en 1996 alors que je pêchais avec d’autres à environ 2 miles au Sud d’Esperanza, il était 21 h quand nous avons soudain observés quelque chose d’inattendu. Nous avons vu plusieurs lumières très brillantes en forme de sphères sortant du sommet de Cerro Ventana (une montagne localisée au sud de Vieques). Ces globes lumineux bleus blancs ont tourné autour de la colline puis se sont dirigés vers la mer plein Sud passant juste au-dessus de nous. Ils ont fait plusieurs cercles rapides et des angles à 90°. On pouvait entendre un léger sifflement provenant d’eux, pratiquement inaudible. Ensuite ils sont retournés vers Playa Grande et Cerro Ventana, zones contrôlées par l’US Navy et ils ont disparu dans la montagne. C’était comme s’ils avaient traversé le flanc de la montagne…

Mais l’événement le plus impressionnant est survenu une autre nuit. Nous avons en effet rencontré un énorme objet alors que nous étions en train de pêcher au large. J’étais avec Anibal Corcino et son père et nous venions juste de quitter La Esperanza. Je ne me suis pas aperçu de la présence de l’objet de suite car j’étais le capitaine et en charge du gouvernail. Anibal et son père l’ont vu immédiatement et ils se sont mis à hurler. Je me suis retourné et j’ai vu cet énorme engin. Il venait de la mer près des lagons de Playa Grande, au Sud où la Navy a ses systèmes radars ROTHR (Radar Over The Horizon) installés. Et il se rapprochait de nous en volant. C’était un extraordinaire vaisseau, énorme, avec plein de lumières tout autour. C’était une soucoupe volante, un navire en forme de disque, mais vraiment immense de taille. Il était à une certaine distance de nous mais il était très visible à cause de sa taille et de ses lumières jaunes, bleues et rouges. Mais le plus incroyable c’était que cet objet prenait de l’eau de la mer. L’eau à la surface de la mer faisait de petits tourbillons comme lorsque l’eau bout. Et l’eau montait en une colonne tourbillonnante à bord de l’ovni. Nous étions tous impressionnés. C’était la première fois de ma vie que je voyais une chose pareille. De là où nous étions le vaisseau semblait avoir à peu près 12 à 15 mètres de diamètre et nous étions à 2 Km de lui. Cela peut vous donner une petite idée de sa taille.

Ce qui nous a le plus impressionné, c’est qu’il aspirait l’eau de la mer et que cette eau tourbillonnait comme dans un mixer. Une colonne de lumière verte assez violente, comme un puissant spot venait de dessous l’objet. Il y avait un trou là dessous d’où venait le rayon lumineux qui descendait verticalement. Ensuite l’ovni s’est envolé vers l’Ouest à une vitesse fantastique et il a disparu en quelques secondes. J’ai gardé le silence jusqu’à maintenant car les gens peuvent douter de ce que vous racontez au sujet de telles choses. Ce n’est pas tout le monde qui a l’opportunité de voir un de ces navires, particulièrement un énorme comme celui que nous avons vu. Mes fils et moi-même avons été emprisonnés seulement parce que nous protestions pacifiquement au sujet de ce qu’ils font à Vieques. Je sais que les agences gouvernementales ont manipulé l’opinion publique, les gens qui n’ont pas été témoins de tout cela. Ils essaient de leur faire croire que le phénomène ovni n’existe pas. Ils font des campagnes pour nous discréditer et nous ridiculiser pour ainsi nuire à la cause que nous poursuivons, celle de la fin des bombardements dangereux sur notre petite île encore habitée. Mais les gens de Vieques me connaissent et ils savent que tout ce que je fais est basé sur mes convictions et mes principes. Ils savent que je n’aime pas la publicité et que je ne suis pas du genre qui invente puisque cela pourrait nuire à la cause que je défends. Nous avons enduré beaucoup de sacrifices pour cette cause. Il est temps que l’on discute de ces sujets. La Navy utilise des armes chimiques et biologiques sur l’île habitée de Vieques.

Or l’utilisation de telles armes est interdite près des zones habitées. Ils ont nié cela récemment alors que la chose était confirmée par des documents du Pentagone. Ils ont utilisé aussi des munitions avec de l’uranium appauvri et l’ont ensuite nié jusqu’à ce que ce soit aussi prouvé. Comment les croire maintenant ? Après tout ce que nous avons vu ici. Finalement, ils sont parfaitement capables d’entretenir des relations avec les ovnis et de vouloir garder le secret. Peut-être que si des journalistes et des groupes de plus en plus nombreux se mettent à en parler et à révéler tout cela, petit à petit la Navy sera forcée d’en parler et de s’expliquer.”

Collaboration Navy/Alien ?

D’autres personnes ont vu ce type de vaisseau, aussi bien à l’Est qu’à l’Ouest de Vieques. Si nous analysons plus profondément cette situation, force est de constater que ces zones sont contrôlées par l’US Navy. Et la Navy n’a jamais dénoncé cette situation. Apparemment ils doivent savoir de quoi il s’agit, puisqu’ils ne semblent pas prêter attention à la présence de ces objets. Par conséquent nous sommes en droit de nous demander s’il n’y aurait pas une sorte de coopération entre les occupants de ces vaisseaux et les gens de la Navy. Cela reste difficile à prouver car c’est une situation très complexe. En tout cas il faut se demander pourquoi la Navy qui est là depuis 62 ans ne dénonce pas ses faits. D’autres questions viennent légitimement à l’esprit. Pourquoi la Navy a-t-elle obligé les habitants de Vieques à quitter leur terre pour venir s’installer au centre de l’île sur une toute petite portion de terre ? La Navy contrôle désormais à la fois les portions Est et Ouest de Vieques où il y a de grandes étendues inhabitées et des zones restreintes contenant des collines, des plages où personne n’a le droit d’aller. Si des choses arrivent dans ces zones et si la Navy est impliquée là-dedans, la jouissance de ces terrains où personne n’a accès depuis longtemps est très pratique pour eux. Parce que personne ne peut savoir ce qui s’y passe et ce qu’ils y font vraiment. Il se peut également que la Marine étudie secrètement les prototypes d’une technologie avancée d’origine alien dans la zone de Vieques. Qui sait ? Cette situation est très sérieuse.

Nous allons voir par la suite de nombreux autres exemples plus frappants les uns que les autres. J. Martin nous apprend encore un fait qui renforce le secret sur Vieques : à présent la Navy vient de stopper totalement ses manoeuvres et bombardements sur l’île. À l’exception d’une petite portion à l’Ouest de Vieques, tous ces terrains passent désormais sous la propriété d’un Département du Ministère de l’Intérieur. Or ce département sera sous le contrôle de l’Agence de Pêche et Vie Sauvage. Ce Département place le secteur de Camp Garcia, les polygones de tirs, Playa Grande où se trouvent les systèmes radar ROTHOR et le lagon Kiani sous secteur : Refuge Naturel.

C’est une bonne chose me direz-vous ? Pas du tout ! Cela signifie que l’accès de ces zones pour des raisons soi-disant écologiques (ne pas transporter de la terre d’ailleurs avec ses semelles par exemple, pour ne pas troubler l’écosystème… et ainsi vous n’avez même pas le droit de vous approcher à pied ! Et comme écosystème on fait mieux, imaginez un terrain multi bombardé !) est désormais encore plus restrictif qu’à l’époque des zones militaires. C’est très pratique ! D’une pierre deux coups : non seulement on interdit formellement l’accès à cette zone, mais en plus on coupe l’herbe sous le pied de tout le monde, et surtout sous le pied de ceux qui criaient le plus fort, les protecteurs de la nature qui n’ont plus désormais qu’à se taire !… Et malheur à ceux qui oseraient contrevenir à l’interdit, car ils auraient désormais contre eux l’opinion publique, cette force puissante, dont l’histoire nous a appris qu’elle était si facile à mener par le bout du nez.

Les explosions inexplicables

Voici l’histoire de la fameuse explosion ayant eût lieu dans la Lagune Cartagena, Cabo Rojo le 30 mai 1987 et qui a fait couler beaucoup d’encre. Le 29 mai 1987 à 22h les habitants des parcelles autour de la Laguna Cartagena (des milliers de témoins), observent dans cette zone où depuis longtemps on remarque une activité ovni intense, les évolutions d’une sphère lumineuse sur la lagune et sa brutale descente verticale dans les eaux de la baie. À 2h30 du matin, ces mêmes habitants sont réveillés par une forte lumière pénétrant par toutes les fenêtres de leurs habitations. En sortant dehors pour essayer de comprendre ce qu’il se passe, ils observent tous, un grand disque volant illuminant sur sa trajectoire les eaux de la lagune “comme s’il cherchait quelque chose” dira les nombreux témoins. Puis
le 30 donc, brutalement, à 13h55 de
ce même jour une terrible explosion secoue toute la zone de Cabo Rojo, Lajas et Mayaguez.

La thèse officielle de l’énorme explosion ne tarda pas à arriver : on affirma qu’un tremblement de terre avait eût lieu et que son épicentre se trouvait à 81 mille pieds de profondeur sous la Lagune. Mais là, il y a un gros problème, même plusieurs et cela ne fait que commencer, attachez vos ceintures :

1) D’une part tout d’un coup se reprenant, le Service Sismologique de Puerto Rico déclara à tout le pays que l’épicentre ne se trouvait pas là du tout mais bien plus à l’Ouest au Canal de Mona entre Puerto Rico et la République Dominicaine… on aurait voulu détourner l’attention de la zone de la Lagune que l’on aurait pas fait autrement…


2) On prend souvent la population pour des idiots et c’est là une grossière erreur, car parmi elle se trouvait des ingénieurs et des experts qui purent affirmer que l’explosion était telle qu’elle correspondait à environ 1000 caisses de dynamite, ce qui correspond à environ 10.000-20.000 kg de poids explosif! C’est énorme… Des témoins virent même la mer se retirer un peu de la rive…

3) Le Dr William Mc Caan alors en charge du Réseau de Surveillance Sismologique de l’île et qui est un honnête homme (il y en a encore !), à la vue des témoignages et des anomalies relevées dont je vais bientôt vous faire part, ne pus que finir par déclarer : “Ce qui est arrivé dans cette zone n’a absolument rien à voir avec un séisme.” ! Cela lui coûta d’ailleurs son poste car après ses déclarations faites au journaliste Jorge Nieves du journal TV de Canal 2, il subit de fortes pressions et comme il ne voulut pas démentir, il fut rapidement relevé de ses fonctions…

4) D’autre part, sur toute la zone des terrains autour de la lagune y compris des vasières en partie submergées, et du centre même de la baie, on a aperçu des fumées denses d’une couleur bleu cobalt, sortir de terre ou de l’eau ce qui n’est absolument pas compatible avec un événement d’origine géologique. Très vite d’ailleurs on vit la lagune militarisée et devenir une zone restreinte. On vit également des hommes en combinaisons d’anticontamination biologique et radioactive faire des prélèvements d’eau, de boue, de flore sur toute cette zone. On les vit même introduire dans l’eau une grande sphère métallique contenant de l’équipement électronique de mesures. Cette sphère était reliée par un long câble métallique à un hélicoptère militaire. C’est ainsi que des propriétaires de terrains se virent interdire complètement l’accès à leurs propres parcelles et terres par des agents fédéraux américains habillés en civil. Une des plus importantes propriétaires (Mme Zulma Ramirez) se vit même dire : “… Qu’il s’était passé quelque chose dans cette zone concernant la Sécurité Nationale et qu’ils se devaient d’investiguer…” … Pas tout à fait le genre de chose que l’on dit quand il s’agit d’un tremblement de terre…

La dame qui n’avait pas ses yeux dans ses poches remarqua qu’ils portaient des lunettes épaisses et surtout qu’ils avaient sur leurs costumes des petits triangles rouges orangés qui sont en fait des patchs-tests, témoins de mesure de niveau d’irradiation… Que se passa-t-il dans cette zone ? Comment se fait-il qu’une explosion si énorme, allant jusqu’à faire expulser en hauteur violemment les bébés loin de leurs berceaux pendant cette fameuse nuit, en un bond immense, selon les témoignages des parents vivant dans les parages, pour vous faire une petite idée… n’ait pas trouvé encore aujourd’hui une explication satisfaisante ? Que fait-on de la population civile ? S’il y avait des mesures à prendre comme l’ont fait les agents pourquoi la population n’en a-t-elle pas bénéficié ?


Mais ce n’est pas tout… Pourquoi les gens de la zone se mirent à souffrir de douleurs musculaires, de fièvres, de nausées, de douleurs de tête et même pour certains de chute de cheveux sans précédent ? Pourquoi les coraux de la zone commencèrent à perdre leur pigmentation et à mourir ? Et surtout pourquoi les officiels inventèrent encore une thèse plus que discutable… devinez ? Cette fois-ci en invoquant des problèmes dans la couche d’ozone ! Et puis quoi encore ? Serait-ce parce que la véritable explication était par trop embarrassante ? Nous verrons plus loin ce que pensent les experts qui se sont penchés sur le sujet… Et ce serait peut-être les problèmes dans la couche d’ozone qui faisaient s’affoler les boussoles des marins dans la zone ! Et qui rendaient les gens à terre et en mer souffrant de troubles graves de l’orientation… et qui leur procuraient des démangeaisons cutanées… bien sûr ! Mais les choses se compliquèrent davantage : une vague d’observations d’ovnis sans précédent commença dès le lendemain ! Un vrai ballet aérien ! Ce qui fit qu’un peu plus tard un major de l’armée à Porto Rico : le major Marcos Iritzarry n’hésita pas à installer sur le bord de sa propriété sise à côté de la Nationale 303 allant de Lajas à Puerto Rico, à côté de la Lagune, un très sérieux panneau routier indiquant : “Route extraterrestre 303” !


Le 1er juin à 22 h un disque d’aspect métallique avec deux sphères lumineuses blanches à chaque extrémité fut observé dans le ciel par les mêmes nombreux témoins de la zone de Betances à Cabo Rojo, juste en face de la Lagune de Cartagena, puis il disparut dans le mont Bermeja au loin. Il revint par trois fois ensuite au-dessus de la Lagune. Que venait donc chercher cet ovni ? Où que voulait-il signaler à la population environnante ?



Une des nombreuses témoins : Madame Rosa Acosta raconta comment cet ovni resta stationnaire, complètement immobile au-dessus de la lagune pendant 15 mn, juste avant de s’élever brusquement et de disparaître derrière dans le mont Bermeja. D’autres survols d’ovnis s’ensuivirent les semaines et mois suivants. Ce fut aussi le début d’une vague d’explosions souterraines et de tremblements dans toute la zone et même jusqu’à l’île de Vieques dont je vous ai déjà parlé. Les plongeurs de grande profondeur pendant des jours entendirent comme des explosions sourdes venant de sous la mer. Pendant plusieurs mois, ils observèrent qu’à une certaine profondeur la visibilité était moindre que d’habitude car : “Il y avait une grande quantité de particules étranges en suspension dans l’eau de mer”. Un instructeur de plongée à La Parguerra raconta que tandis qu’il descendait en grande profondeur non sans avoir installé une corde avec des paliers et des réservoirs à certaine distance pour la remontée, il aperçut un gros poisson et le visa avec son pistolet harpon. Le poisson se débattit et comme il était très fort il entraîna dangereusement vers le bas le plongeur qui n’arrivait pas à se débarrasser de la corde attachée à son poignet le reliant à son harpon fiché dans l’animal.

Il entraîna immanquablement le plongeur verticalement vers une fosse marine de plusieurs milliers de pieds de profondeur. Il finit par réussir à couper la corde avec son coutelas. Il vit le poisson continuer sa descente avec le harpon, puis soudain il vit comment celui-ci fut comme happé et se retrouva collé à la paroi lisse du rocher. Comme si le roc était un gigantesque aimant… Le métal du harpon avait été aimanté par la paroi… Or selon les plongeurs de grande profondeur qui connaissent bien la zone, il y aurait au-delà de 200 pieds vers le bas, à cet endroit, dans cet à-pic plongeant très profond verticalement (plusieurs milliers de pieds), une énorme entrée, comme une grotte sous-marine mais plutôt rectangulaire. Cependant aucun d’entre eux n’a jamais osé explorer si bas, de crainte également des puissants courants sous-marins qui sévissent dans cette zone. C’est aussi dans cette zone de très grande profondeur que les pêcheurs ont vu fréquemment de gros bateaux avec des grues et des garde-côtes qui faisaient descendre à cet endroit de très gros tubes métalliques.

Ils racontaient aux pêcheurs que c’était pour déstaliniser l’eau de mer. Mais des ingénieurs interrogés n’y ont pas cru une seconde. Ce serait bien plutôt l’installation de bases sous-marines. La technologie de telles bases est connue depuis au moins les années soixante. Alors quoi ? La Marine serait en train de construire des bases sous-marines à cet endroit ? Pourquoi pas, mais alors quel rapport y a-t-il avec le grand nombre d’observation d’ovnis ? Pour les spécialistes sur place, ce serait plutôt une tentative de pénétrer dans des bases déjà existantes, des bases qui pourraient être aliens, d’où la grande quantité d’ovnis sortant et entrant dans la mer dans certaines zones très précises. Nous aurons l’occasion dans les articles suivants de vous faire part de nombreux autres faits avérés allant dans ce sens et encore davantage… Mais pour vous faire une petite idée par rapport à l’explosion citée au début de cet article et à ces fumées bleu cobalt, voici les suppositions que se sont amenées à se faire des ingénieurs. Il est bien entendu que ce ne sont que des spéculations par rapport aux mêmes éléments que vous avez maintenant en votre possession, mais c’est assez intéressant pour être notifié : Cela pourrait être en gros quatre choses différentes :

1) Peut-être une bombe radioactive et chimique, ou radiologique. Ou peut-être l’explosion accidentelle de composés de cobalt que certains ont malencontreusement l’habitude de jeter en mer comme déchets radioactifs. Mais cela ne déclencherait pas de détonation nucléaire, “seulement” un effet radiologique. Or le poids explosif invoqué peut correspondre à l’effet cumulé d’une très grosse bombe thermobarique mais pas à une nucléaire.

2) Ou alors une torpille grosse porteuse a été lancée contre un USO (Unindentified Submarine Object, Objet Sous-marin non identifié) probablement dans ce cas par un avion S-3 Viking AS, et la torpille fut déviée par sa cible et explosa incidemment près d’un dépôt sous-marin de déchets radioactifs. Mais cela n’explique pas la grande puissance de l’explosion. Même une grosse torpille ne peut contenir que 400 kg d’explosifs.

3) Ou alors un chasseur F-15 E ou F-117 a délibérément lancé une bombe à haute pénétration (classe bunkerbuster, 2,7 Tonnes, ogive principale : 400 Kg) contre un USO sous la mer. Elle a pu faire exploser l’USO ce qui a fait libérer des matériaux radioactifs et toxiques. Le chasseur a pu obtenir les coordonnées de la cible (l’USO) par un avion patrouilleur anti sous -marin P-3 C Orion qui a détecté l’USO par le MAD (magnetic anomalies detector) et ensuite le chasseur lance la bombe guidée par Laser et GPS jusqu’à la cible sur une distance d’environ 10 km. En général on utilise ce genre de bombe pour creuser la roche dure et faire exploser des souterrains. Ou plus simplement un S-3 Viking a envoyé une torpille qui à fait exploser l’éventuel USO.

Voici quelques hypothèses mais il reste bien des questions comme la présence étrange d’un aérostat militaire au-dessus de la lagune et bien d’autres encore dont nous vous parlerons après.


Phénomènes inquiétants autour du radar ROTHR

île de Vieques, Puerto Rico


Le journaliste Jorge Martin et son équipe, lors de plusieurs visites dans la petite île de Vieques, ont été informés d’une série d’évènements importants et pour le moins alarmants ayant eu lieu entre 1999 et 2000. Ces évènements ont été étouffés par les autorités militaires et par la Compagnie Raytheon créatrice de radar, ainsi que par la société de sécurité en charge de la zone. Pourtant des membres de la marine américaine, des membres du personnel de sécurité et de vigilance des installations radar ROTHOR, à Vieques sur la plage “Playa Grande”, ont été témoins de manifestations incroyables et ils ont voulu témoigner. Mais avant d’en venir au vif du sujet, il est important de vous donner quelques explications et détails sur l’implantation à Puerto Rico d’un radar particulièrement controversé.

Le radar ROTHR


Le radar ROTHR (Relocatable Over The Horizon) est composé de deux installations. L’installation réceptrice se situe à Fort Allen au Sud de la municipalité de Juana Diaz, au Sud de la grande île de Puerto Rico. C’est une base militaire américaine qui a servi en 1980 de camp de détentions pour les réfugiés haïtiens. Il avait été prévu au départ d’installer ce récepteur dans la région de Lajas au Sud-ouest de l’île mais une campagne massive de protestation et une grande marche de 60 000 personnes empêchèrent ce projet d’implantation. L’autre installation est la partie émettrice. Elle se trouve dans la petite île de Vieques à l’Est de la grande île de Puerto Rico et à 40 Km à l’Ouest de St Thomas. Nous vous rappelons (voir TS n°22) que Vieques, cette jolie petite île des Caraïbes où les Portoricains viennent passer le week-end pour pêcher et profiter des plages, est au 2/3 une base militaire et que la population civile de 9.000 habitants est pour ainsi dire “prise en sandwich” dans la partie médiane de l’île


L’émetteur de Vieques consiste en 35 antennes qui émettent des ondes de 10m de longueur d'onde soit une fréquence de 30 Mhz avec une puissance de 200KW. Le récepteur lui se compose de 372 paires d’antennes d’aluminium de 19 pieds de hauteur.

 

 

 

Une efficacité discutable

Selon les opposants du ROTHR qui ont porté leur protestation en délégation a Washington les 8 et 12 mars 1999 (un texte rédigé par Carmelo Ruiz), ce radar pose de sérieux problèmes et soulève d’importantes questions. Tout d’abord, les opposants dénoncent le fait que la compagnie constructrice du radar aurait été condamnée à maintes reprises pour fraude par le gouvernement. Elle aurait même été impliquée dans un scandale de corruption au Brésil, en essayant de s’assurer un contrat de construction de radar SIVAM pour la surveillance du bassin de l’Amazone. Ensuite, les autorités avancent que le radar est censé servir à l’interception des vols d’avions du trafic de drogue au-dessus de la mer Caraïbes. Or, à l’origine ce type de radar a été conçu pour détecter des bombardiers soviétiques et pas les petits avions.

D’autre part, selon un des membres scientifiques de la délégation, Mr Neftali Garcia, qui est aussi candidat pour le poste de sénateur de Puerto Rico, beaucoup de drogue arrive par bateau et ce système ne détecte pas les bateaux ! De toute évidence, ce radar ne peut donc apporter qu’une contribution très marginale à la lutte contre le trafic de drogue. En outre, comme il a besoin de l’ionosphère pour fonctionner et que l’ionosphère est un système instable du fait du rayonnement solaire, il peut se passer plusieurs jours avant de trouver une fenêtre météo favorable à la détection. Mr Garcia a souligné également que ce radar ne peut détecter les vols en dessous de 500 pieds ce qui le rend inefficace contre les avions volant à basse altitude, c’est-à-dire justement ceux des trafiquants…

Des nuisances graves

Les opposants du ROTHR mettent aussi en avant les désagréments que cause une expropriation de 100 acres de terrain cultivable dans la vie d’une population déjà confinée dans un très petit espace. Ils affirment aussi que les deux installations ont des répercussions négatives sur la santé des gens, à cause des radiations électromagnétiques, et ceci malgré les assurances du gouvernement. Ils sont particulièrement inquiets de l’installation de Vieques qui est construite à 500 m d’une zone habitée. Il faut préciser qu’en mai 2001, les responsables ont fait signer un document aux employés et techniciens du radar ROTHR de Vieques, exonérant la Marine de toute responsabilité en cas de problème de santé. Il faut dire que le taux de cancer à Vieques est de 52% plus élevé qu’à Puerto Rico.

Discours contradictoires

Lorsque les opposants au radar ont demandé pourquoi celui-ci n’était pas installé dans une base militaire sur l’île principale comme celle de Roosevelt Roads Navy à Ceiba, il leur a été répondu que c’était impossible en raison des interférences commerciales et militaires des transmissions radios de la grande île. Le taux de radiations électromagnétiques généré par le ROTHR de Vieques était incompatible avec une installation dans une base militaire où des armes nucléaires sont stockées, surtout à cause du risque spécial HERON (Hazard of Electromagnetic radiation) ! C’est un risque de radiations électromagnétiques qui peut provoquer des accidents sur les armes nucléaires et conventionnelles.

De lourdes suspicions

En fait, les opposants craignent que le ROTHR ne fasse partie en réalité d’un dispositif similaire au programme de l’antenne HAAARP (High Auroral Atmosphere Advanced Research Project) comme celui très discuté d’Alaska qui soulève énormément de protestations. Ce projet de haute technologie secrète, militaire, est censé altérer la composition de l’ionosphère par des explosions de micro-ondes et ainsi modifier le climat. Les militants anti ROTHR citent au passage un article intéressant de la revue “Popular Science” de septembre 1995 où il est dit que le système HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program), en dehors de la modification potentielle du climat, pourrait servir aussi d’instrument de radiographie de type scanner travaillant à l’intérieur de l'écorce terrestre par tomographie. Il pourrait ainsi détecter à plusieurs km de profondeur des armes nucléaires et des minéraux. (Calentadores ionosfericos, Toni Martin). Les craintes des habitants se fondent principalement sur le fait que HAARP a été mis en place pour remplacer et améliorer le dispositif du radar ROTHR. À l’origine en effet, ROTHR avait été construit pendant la guerre froide. Il avait pour but de détecter une attaque nucléaire éventuelle par missiles balistiques intercontinentaux.

HAARP, qui est donc “juste la taille au-dessus de ROTHR” permet le contrôle des processus de l’ionosphère, la tomographie de pénétration du sous-sol, l’amélioration des communications des sous-marins, le blocage des communications “ennemies”… Ce sont autant d’objectifs qui sont d’un grand intérêt stratégique en cas de guerre “électronique”, mais qui, rappelons-le, ne sont pas sans présenter un réel danger pour les populations et la planète. C’est du moins ce qu’affirment des scientifiques tels que le Dr Richard Williams, de la Société Américaine de Physique , qui qualifie HAARP d’“Acte irresponsable de vandalisme global” et le Dr.Gordon J.F. MacDonald, ex-directeur de l’Institut de Géophysique Planétaire de l’UCLA ( Université de Californie), qui a dénoncé dans son livre “Unless Peace Comes” les dérives de cette technologie pour la manipulation du climat, la fonte des glaciers, allant même selon eux jusqu’à la manipulation des ondes cérébrales des personnes. (Voir les encadrés “Ondes de Schumann” et “Ondes ELF”).

L’ancêtre de HAARP à Puerto Rico ?

Il se trouve que HAARP est très comparable au ROTHR. Les deux dispositifs utilisent de très puissantes ondes électromagnétiques de haute fréquence. Ils utilisent tout deux l’ionosphère (qui est la couche la plus élevée de notre atmosphère, celle qui nous protège des différents types de radiations provenant de l’espace ainsi que des rayons solaires) comme miroir pour faire parvenir leurs ondes au-delà de l’horizon en couvrant d’immenses zones. Rappelons que la couverture des radars traditionnels est limitée à cause de la courbure de la Terre.

Si on envisage le dispositif ROTHR, malgré sa taille réduite, comme faisant partie d’un immense réseau d’antennes disséminées sur plusieurs milliers de Km, comprenant la grande île et même le continent, on peut considérer alors qu’il permet des fréquences pouvant interférer également avec le cerveau humain (un radar ROTHR tout seul ne peut y arriver). On peut alors comprendre l’inquiétude des Portoricains et l’hostilité qu’ils ont manifestés à l'égard de cette implantation. Mais vous allez voir que d’autres éléments encore plus troublants allaient bientôt renforcer ce climat d’inquiétude.

Des observations inquiétantes

Mr Victor Ayala Salgado, Mme Modesta Santos, ainsi que leurs amis, familles et voisins vivant à “La Hueca”, la zone habitée la plus proche du radar ROTHR de Vieques, observent et témoignent tous du même phénomène. Depuis la construction du radar, régulièrement entre 21h et 2H du matin, ils voient en effet arriver du Nord de grosses lumières ovales bleues qui volent sur un plan horizontal. Ces lumières survolent les montagnes et soudain en s’approchant du radar changent de direction et virent à 90%. En général elles disparaissent dans le lagon de Playa Grande, et parfois même dans la mer juste devant le radar. Ces témoins affirment que ces lumières sont énormes. Elles mesurent entre 4 et 6 mètres de diamètre. Ils les voient passer au-dessus de leurs toits et peuvent s’en faire une idée bien précise. Beaucoup de rapports similaires affluent sur la table du journaliste et ufologue Jorge Martin. Certains de ces témoignages proviennent de gens travaillant à la sécurité du radar.

Parmi ces témoignages, il y a celui de Mr Angel de Léon, un officier des Forces Armées et de la Garde Nationale U.S. à la retraite. Cet homme raconte qu’en juin 1999, des amis universitaires de Vieques l’invitèrent à aller voir un étrange phénomène qui se produisait régulièrement à côté du radar. “Nous avons monté un camp sur une montagne proche du radar, rapporte l’officier à la retraite. Tard dans la nuit nous avons vu un groupe de lumières venant du sommet d’une pente du comont Ventana et qui ont survolé la mer. Ces lumières dansaient dans le ciel. Elles ont tourné plusieurs fois à gauche puis à droite et elles ont disparu. J’étais paralysé… Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. J’ai dit à mes amis que tout ça avait peut-être un rapport avec l’installation radar. C’était peut-être des fusées éclairantes. Mais juste à ce moment-là, trois autres lumières sont apparues et elles sont restées suspendues, stationnaires juste devant notre camp. Ces lumières étaient beaucoup plus grosses, plus brillantes et plus proches que les précédentes. Soudain elles ont bougé et elles ont formés un triangle, puis elles ont descendu vers le radar. Nous avons couru vers le site mais une fois arrivés, nous n’avons rien trouvé. Elles avaient disparu, il n’y avait plus rien à voir.”

Les témoignages s’accumulent

Poussés par la peur de ce qu’ils observaient et par un légitime besoin d’en informer la population, plusieurs membres de la Navy et du personnel civil de sécurité du ROTHR ont pris contact avec Jorge Martin. Ils n’avaient plus grand chose à perdre de toute façon. Depuis qu’ils avaient eu le malheur d’écrire dans leur rapport qu’ils avaient vu “quelque chose”, ils subissaient une campagne de discrédit et un harcèlement systématique au sein de leurs unités. Ils pressentaient leurs renvois imminents et leur remplacement par un personnel de haute sécurité plus habilité au secret. C’est ainsi que notre ami Jorge Martin fit la connaissance de Reynaldo Calzada. Cet officier a travaillé durant trente ans comme superviseur des gardes de sécurité dans les bases de la Marine U.S. à Vieques. Il a été témoin de plusieurs incidents.

Des vidéos réquisitionnées

En avril 2001, vers 14h00, alors qu’il était en charge de la sécurité du ROTHR à Vieques, Playa Grande, il a vu sur le moniteur n°6 de ses écrans de contrôle, quelque chose de vraiment étrange. Ce moniteur pointait sur une partie du lagon quand il a vu apparaître un très gros objet circulaire métallique avec un dôme sur le dessus. Ce “vaisseau” volait dans le ciel ensoleillé et parfaitement clair. Reynaldo Calzada a essayé de zoomer mais l’objet allait tellement vite qu’il avait déjà le plus grand mal à le suivre d’un écran à l’autre. Non seulement la marge de manœuvre des caméras est très limitée, mais de plus l’engin semblait faire de brusques bonds. Finalement il a disparu. Comme le stipule le règlement, Reynaldo Calzada a fait un rapport de l’incident à son supérieur, lequel en a aussitôt informé sa hiérarchie, la Société Raytheon et les responsables de la Navy.

Des hommes se sont alors rendus dans les locaux de la sécurité. Ils ont réquisitionné la cassette vidéo qui contenait les images de l’Ovni. Ils l’ont mise dans une enveloppe spéciale avec des scellés et un sceau plus gros que le sceau habituel. Puis ils ont identifié le pli avec une série de chiffres sur le côté avant de l’emporter… L’officier Calzada a expliqué à Jorge Martin que c’était une procédure classique pour ce genre d’images “special data” et que ces gens ne parlaient jamais de ces incidents avec les témoins de la base et du radar. Ils s’entretenaient seulement entre eux dans une salle de conférence rigoureusement fermée et que rien ne filtrait jamais de leur réunion.

D’autres officiers ont confirmé ses propos. Le garde Angel Luis Mercado a raconté un fait similaire qui s’est produit une nuit d’août 2000, alors qu’il surveillait les écrans de contrôle du radar. Un énorme disque argenté avec plusieurs hublots est apparu sur un écran. Il est resté stationnaire durant une bonne dizaine de minutes au dessus du radar. Des gens de la base de Roosvelt Roads sont arrivés dans la salle de contrôle et ils ont pris la cassette. Une autre nuit, en octobre 2000, plusieurs gardes de sécurité ont observé vers 2H30 du matin un autre incident. Cette nuit-là, ils étaient plusieurs à observer les écrans des caméras de surveillance tandis que d’autres gardes étaient en patrouille à l’extérieur. Sur les écrans est soudain apparu un grand objet en forme d’ovale lumineux, juste au-dessus de la grille d’entrée de l’installation radar. Passé l’instant de surprise, les hommes devant les moniteurs ont aussitôt alerté leur collègue qui se trouvait au plus près de la grille. C’est Mr Peralta qui était de faction ce soir-là. Il a vu l’objet qui était à moins de 120 mètres de lui. Voici ce qu’il racontera à Jorge Martin : « C’était comme si l’objet était capable de se rendre invisible si on l’observait sous un certain angle. C’était étrange à voir. D’un seul coup, une coupure de courant s’est abattue sur tout le site du radar rendant les choses encore plus bizarres. L’objet s’est déplacé en silence vers la droite et il est resté suspendu pendant plusieurs minutes entre le radar, le lagon et le Col Pirata. Puis il a redémarré et il s’est dirigé vers la mer, le Sud, vers La Poza del Sur »

Publié dans PHENOMENES OVNIS

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